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il y a 3 ans
Nous nous étions donnés rendez-vous à la Chambre d'Amour près du phare de Biarritz.
Déjà un nom prédestiné pour une première entrevue. J'avais répondu à une annonce "rencontres" dans un journal local , et ma lettre avait semblait-il plu à ma lectrice. En cela rien de spécialement S.M., si ce n'est le désir de deux personnes seules de se rencontrer pour quelques activités ludiques, et plus si affinités.
Nous nous sommes promenés un long moment en échangeant des idées sur tout. Elle était jolie, brune avec de longs cheveux, assez grande et d'allure sportive. Je me rappelle avoir vu de jolies jambes se dévoiler lorsqu'elle est montée dans sa voiture en partant, et que sa robe longue fendue s'est ouverte.
Le temps a passé. Après quelques promenades en montagne, quelques restaurants, et deux ou trois séances de cinéma, un soir nous avons partagé le même lit. Notre relation était celle d'un couple normal, avec une très bonne entente sexuelle. La chambre à coucher était toujours un lieu de fête.
Un jour dans mon studio, car nous ne vivions pas ensemble, elle trouva des albums de Stanton, John Willie, et divers autres. Elle me demanda de les cacher. Il faut dire qu'ils traînaient au milieu de ma bibliothèque. N'importe qui en entrant pouvait les voir et se demander quel individu j'étais.
Je n'ai pas fait plus attention que ça, à cette remarque logique. Je tenais à cacher mes goûts, spéciaux dirons nous, à ses yeux. Je me demandais si cela ne la ferait pas fuir. Comme je pouvais vivre mes fantasmes par ailleurs, je tenais à ce que cela reste personnel et ne voulais pas la perdre à cause de ça. Quelques temps après je la retrouvais assise sur mon lit avec un livre érotique d'Anaïs Nin. Elle me demanda de le lui prêter quelques jours pour le lire. Je fus étonné, mais après tout, elle était majeure et vaccinée.
Pendant quelques temps je fus soumis à un questionnaire en règle sur mes goûts érotiques. Comme je savais que sa précédente relation s'était mal terminée, je les énonçais en veillant à rester dans les normes, tout en avouant un certain coté coquin dont elle s'était rendu compte dans nos ébats. Puis le temps passa.
En fait, j'avais des goûts S.M. très marqués, bien que non exclusifs .J'adorais lui faire l'amour avec tendresse, en veillant à son plaisir. J'aimais le discours amoureux, lui offrir des fleurs ou un petit bijoux, l'emmener dans des endroits romantiques et rester serré contre elle. Elle était très jolie physiquement et avait un grain de peau extraordinaire, un peu mat comme les espagnoles.
Je ne souhaitais pas qu'elle sache que j'avais eu auparavant deux esclaves. Des chaînes, un fouet, des godes, des pinces et un bâillon faisaient désordre dans notre relation. Et pourtant je rêvais, parfois, de la voir attachée nue sur une chaise, ses jambes musclées écartées, des pinces sur ses seins superbes, son ventre de sportive tendu avec les mains attachées derrière le dossier.
J'étais sûr qu'à la moindre allusion elle aurait pris la porte. Son précédent amant, l'avait faite presque devenir folle. Les coups et blessures avaient été constatés, et le tribunal l'avait condamné. Dépendant des boissons fortes, sans doute homosexuel pervers, il l'avait battue comme du plâtre. Je n'allais pas raviver des plaies encore fraîches dans sa mémoire.
Elle m'avait avoué n'avoir jamais eu d'aussi forts orgasmes, qu'avec moi. Mon amour propre s'était gonflé comme un ballon dirigeable. Je ne voulais pas qu'il redescende à la taille d'une balle de ping-pong.
Au bout d'un an, alors que je rentrais un peu tard dans la nuit chez elle, dans sa résidence secondaire au milieu des bois, elle me le reprocha en me disant qu'elle avait souhaité m'attendre comme une esclave de John Willie que l'on voit dans un de ses albums. Etonné je lui demandais comment.
Elle me décrivit alors comment, attachée nue avec des bas noirs contre le petit mimosas qui est sur la terrasse, les jambes écartées, sur des hauts talons, le ventre contre l'écorce, et les bras encordés aux branches du dessus, j'aurais pu la prendre comme un soudard qui découvre une victime.
Le fait d'avoir appelé pour lui dire que je ne savais pas exactement quand j'arrivais, l'avait faite renoncer à son projet. Ce jour-là, je me suis posé quelques questions. Toujours fidèle à ma ligne de conduite, j'ai fait le "coquin" qui trouvait l'idée originale. Le disait-elle pour me tester, ou sincèrement ? J'optais pour la première hypothèse !
Tout de même, dans la soirée je l'interrogeais sur ces goûts érotiques. Je découvrais qu'elle souhaitait que je l'engode et voulait un corset. Pour les godes, ils devraient être en fer, le plus froid possible, longs et larges d'environ 3 cm.
Pour les corsets, ils seraient assez longs de manière à pouvoir bien appuyer sur le pubis et lui serrer la taille. J'obtenais ces réponses pendant que je lui faisais l'amour. Elle avait les yeux dans le vague, sa poitrine était malaxée par mes mains, et elle n'allait pas tarder à crier son orgasme comme à chaque fois. Ensuite, un peu essoufflée, elle m'a traité gentiment de salaud, et m'a avoué qu'elle aimait être prise avec puissance, que mes questions l'excitaient.
Le week-end suivant, elle avait trois godes différents en fer et le corset spécial. Je n'avais pas trouvé de gode en fer, ni de corset spécial dans les catalogues. J'ai du les réaliser moi-même. Heureusement que je suis un peu bricoleur. Dans une surface de bricolage, j'ai trouvé du tube en fer rond et de la soudure à froid.
En découpant le tube aux longueurs désirées et en bouchant et modelant les extrémités, je me suis donc fabriqué mes trois godes. Le premier était simple avec un embout arrondi, le second avait un embout en forme de gland, le troisième était couvert de picots, arrondis pour mieux glisser et une grosse tête.
Pour le corset, en fait j'en ai fait deux. J'ai récupéré des chutes de cuir noir et des œillets pour en faire un qui lui serrerait la taille en l'empêchant de respirer à fond.
L'autre était fabriqué avec du skaï noir. Bien cintré, il lui affinait la taille, et un bourrelet de mousse synthétique, placé au niveau de son pubis, comprimait le ventre à cet endroit. Il partait du dessous des seins pour s'arrêter juste au dessus du clitoris.
Quelques dizaines d'oeillets à bâche et quelques mètres de drisse de bateau, j'avais ce qu'il fallait. Ayant quelques notions de cordonnerie pour avoir refait un siège de moto, les corsets n'étaient pas trop mal
Le samedi soir, je l'attendais dans la chambre. Elle ouvrit la porte pour entrer, nue au sortir de la salle de bain. Sur le lit, les deux corsets, et les trois godes. Elle les vit de suite. J'eus droit à un long baiser. Ensuite elle prit les corsets pour les examiner.
"Génial !" dit-elle.
"Maintenant tu enfiles les bas noirs et je te mets le corset en cuir".
Cinq minutes après, muette elle me tournait le dos, pendant que je serrais les cordes derrière. Je sentais par moment ses fesses fermes et chaudes sur ma verge et commençais à bander. Je serrais très fort, sans qu'elle se plaigne. Le travail terminé je la retournais face à moi.
"Tu es devenue une vraie salope comme ça !"
"J'aime être une salope pour toi", dit-elle en écartant légèrement les jambes.
Je n'ai pu m'empêcher de lui passer un doigt dans la fente du sexe qui ressorti mouillé. Sa taille avait perdu quelques centimètres, son pubis ressortait de manière indécente et son cul était bien rond. Elle ne disait plus rien, son visage était grave. Elle s'allongea sur le lit, sur le dos et ouvrit ses jambes. Je m'allongeais à ses cotés et commençais à caresser son sexe. Elle haletait en silence, alors que mon doigt lui pinçait doucement le clitoris, pénétrant parfois à l'intérieur, maintenant trempé.
Je soulevais sa cuisse, et toujours sur le coté la pénétrais. J'écartais nos torses à angle droit, puis saisissant la pointe de ses seins entre le pouce et l'index de chaque main je tirais dessus, en rythme avec mon bassin qui allait et venait. Tout allait crescendo ; la puissance de torsion et de tiraillement de mes doigts était proportionnelle à l'ampleur de mes coups de rein.
#####Vingt minutes après, en sueur, elle essayait de prendre sa respiration malgré le corset qui l'en empêchait et gueulait son orgasme dans la chambre.
Pour ma part, je n'avais pas joui, et elle le savait. Elle descendit boire un verre d'eau après avoir enlevé le corset. D'en bas elle m'appela pour me demander de descendre avec l'autre corset et les godes. Nue sauf ses bas noirs, elle m'attendait au salon, devant le canapé.
Maintenant le long corset en skaï lui faisait un taille de guêpe, elle avait du mal à respirer. Le plastron lui enfonçait le bas du ventre, les baleines lui serraient les cotes et la taille, l'empêchant de se pencher trop bas . Elle commençait vraiment à devenir très très excitante. Ses grandes lèvres sortaient de sa toison .(Il faudra que je la rase bientôt, cela sera encore mieux). Je lui demandais de se mettre face à la grande glace pour qu'elle se voit.
"J'aime !" me dit-elle.
"Penche toi en avant que je vienne !"
"Je vais écarter les jambes pour que tu me prennes à fond."
Je goûtais à nouveau sa douce moiteur pendant un moment en la tenant par les hanches. Puis, après l'avoir disposée le ventre et les seins sur l'assise du canapé, les jambes ouvertes, ses fesses contre mon ventre, je la défonçais et me vidais en elle.
Immédiatement après avoir repris mes esprits, je la faisais asseoir sur le bord, la tête contre le dossier et les jambes écartées. Les godes tintèrent lorsque je pris le plus simple. Il était froid dans la main.
"Le gode est froid, mais ta chatte va le réchauffer", dis-je en le présentant devant ses petites lèvres.
"C'est bon, vas-y, rentre le !"
Il glissa facilement dans le sexe, et j'entamais les mouvements de va et vient, en m'occupant de son clitoris. Elle était reprise par le désir et gémissait. Le corset l'empêchait de respirer, elle perdait ses marques. Le plastron devait appuyer également sur son vagin augmentant sa sensibilité. Au bout d'un moment je changeais le gode et optais pour celui au gros gland et reprenais les mouvements de va et vient.
Ses réactions furent plus vives. Le gros embout atteignait des parties de son vagin non encore stimulées. Et puis le froid du métal ! Elle serrait les dents, ses yeux étaient dans le vague, ses muscles tendus. Dernière opération après quelques minutes, changement de gode. Je retirais le gode devenu chaud, et enfonçait celui avec les ergots, tout frais. Là, vive réaction, j'accélère et amplifie le mouvement en allant bien au fond, frappant la gaine vaginale sur l'endroit que j'avais senti le plus réactif. Maintenant ses jambes tremblent, elle marmonne entre ses dents serrées ; "Vas-y, vas-y, je suis ta salope , tu vas me faire encore jouir !"
Les picots font vibrer ses petites lèvres comme l'archer les cordes d'un violon et ceci jusqu'au final. Son corps se tend quelques secondes au maximum, pendant que la vitesse de masturbation est la plus rapide, on peut voir son visage congestionné par l'effort. La pièce résonne d'un cri de bête que je ne lui connaissais pas puis elle s'apaise, à travers son corset on devine des contractions de ses abdominaux qui durent un moment. Puis elle se couche sur le coté jambes repliées, essoufflée, et elle pleure.
"Qu'as-tu ?" (Ma question est idiote !)
"Rien ! Mais c'était trop fort, c'est mes nerfs qui ont lâché" .
Voilà les éléments que je découvrais chez ma maîtresse. En fait, je ne savais pas dans quel domaine la classer : bonne jouisseuse, fétichiste, maso ?
Les conversations que j'avais avec elle me désorientaient. Autant dans les moments intimes je pouvais tout imaginer, autant dans ce qu'on pourrait qualifier de vie courante elle se montrait plutôt très sage et réfléchie. Dans ma tête, une intense agitation avec des scénarios plus érotiques les uns que les autres ; des années de S.M. faisaient bouillonner des idées comme la lave au fond d'un volcan.
J'aurais pu écrire mille livres sur les idées, les techniques, la façon de faire jouir une esclave, de l'emmener à se dépasser, etc.... Mais là ! Je ne pouvais pas faire un pas en avant sans risques. C'était plutôt déstabilisant.
(26 jan. 2001)
D'autres faits, par la suite, vinrent encore semer le trouble dans mon esprit..
Je trouvais que sa toison pubienne était plutôt fournie et n'allait pas avec son physique. Bref, je ne trouvais pas ça joli. Pour me faire plaisir, elle l'avait rasée un peu pour la cacher avec son slip, mais je souhaitais qu'elle n'ait juste qu'un triangle au-dessus du clitoris, pour ensuite, mais elle ne le savait pas encore, le supprimer également. Mon but était de la voir avec un sexe épilé, lisse.
Elke avait un corps superbe. Il faut dire que deux fois par semaine elle se rendait dans une salle de mise en forme pour l'entretenir. De plus, elle faisait du footing, du vélo, et beaucoup de marche. Cela donnait des jambes superbes bien mises en valeur par des talons hauts. Bien qu'elle n'en porte pas souvent, se jugeant trop grande. De mon coté, le peu de fois où elle en mit, je l'encourageais. Nue, elle aurait fait damner un saint. Je ne pensais jamais faire la connaissance d'une fille aussi belle.
Des seins bien proportionnés et d'un moelleux incomparable, l'harmonie et l'équilibre des formes de son corps, venaient de son père allemand, pas une once de cellulite sur des membres biens musclés. La couleur de sa peau légèrement ambrée, sa frimousse avec de légères taches de rousseur que soulignaient des yeux verts magnifiques, sa chevelure noir cuivré qu'elle avait hérité de sa mère espagnole, en faisaient un modèle idéal. Lorsque j'appris qu'elle avait posé nue pour deux ou trois photographes, cela ne me surpris pas, et me rendis un peu jaloux.
Lors d'un week-end, je mettais dans ma sacoche des rasoirs, du savon à barbe, et une surprise.
Quelques jours avant, nous avions plaisanté devant un catalogue féminin, sur des soutiens gorges d'allaitement dont les bonnets s'ouvraient pour libérer les seins. Effectivement, c'était pratique, pas sexy du tout, mais fonctionnel. "De là à faire pareil avec un slip", m'avait-elle dit en souriant, cela permettait d'avoir une fonctionnalité "autre". Son idée me plaisait, et, dans la semaine j'avais réalisé un string, dans le même skaï noir que le corset, avec une ouverture bien placée. J'allais faire d'une pierre, deux coups.
Le vendredi soir, après avoir pris un bain ensemble, je lui tendais la serviette et prenais mes affaires dans la sacoche.
"Tu vas te raser maintenant ?" dit-elle en s'essuyant le visage.
"Non, tu sais que je me rase toujours au rasoir électrique. Non, c'est pour toi !"
"Je vois que tu as des idées fixes, mon chéri. Ma toison est trop fournie ?"
"Un peu trop à mon goût. Elle me gratte quand je te lèche la chatte" dis-je en souriant.
Cinq minutes plus tard, nous avions étalé une grande serviette en travers du lit, et sur le dos, elle relevait et écartait ses cuisses au maximum en les tenant sous les genoux. Je me penchais sur sa "vallée des roses", étalais la mousse à raser, puis prenais le rasoir.
Lorsqu'il était passé, sa peau devenait d'une douceur sublime. Je m'appliquais à la commissure des jambes, puis sur le sexe dont je pris les grandes lèvres entre mes deux doigts. En les tirant légèrement et en les écartant, je ne laissais aucune chance au moindre rebelle disgracieux puis continuais jusqu'à son "oeillet". Je dégageais également le capuchon du clitoris en laissant deux ou trois centimètres avant sa toison, dont je diminuais l'épaisseur.
Je vérifiais le travail en passant l'index partout ; plus le moindre piquant et une douceur très agréable. J'en profitais pour l'embrasser à cet endroit.
Elle se releva, et alla devant la glace. Elle vit que les lèvres étaient bien apparentes et que sa nudité devenait provocante. C'est ce que je souhaitais. Elle se caressa l'entrejambe et trouva le résultat étonnant.
"Je comprends pourquoi tu voulais me raser ! Tu avais raison".
"Attends ce n'est pas fini. Regarde ce que je t'ai préparé !"
Elle avait mis le string en skaï. De chaque coté du triangle mini partait une corde noire qui rejoignait l'autre dans le dos. Celle du dessous remontait entre les fesses pour s'attacher aux autres. Le skaï entourait ses grandes lèvres et les pressait en les faisant ressortir d'une manière impudique.
"J'ai l'air de la salope que je suis non ?" dit-elle avec une drôle de voix.
"Oui exactement, c'est très excitant !"
"Il faut que je tienne à toi pour me livrer comme ça. Je le fais, bien sûr parce que ça m'excite, mais surtout parce que je t'aime. Tu es le premier homme qui me comprend et ne profite pas de la situation. Si j'avais le moindre doute sur tes sentiments, nos folies s'arrêteraient immédiatement. Je sais qu'avec toi je peux avoir confiance et que je découvrirais certaines facettes de l'érotisme que j'ignore encore. Je compte sur toi pour défricher ma libido".
"Je te remercie de cette confiance, simplement, arrête-moi immédiatement si jamais un jour je dépasse les limites de ton désir. Ne t'oblige jamais. Tu en serais malheureuse, moi aussi, et ce n'est pas ce que nous cherchons. Nous avons tant de plaisir ensemble."
Sur ce, je me collais contre elle et l'embrassais. Elle s'abandonnait entre mes bras et je sentais son corps chaud contre moi. Dans l'étreinte, mes mains caressaient ses seins et bientôt descendaient plus bas jusqu'à rencontrer la matière lisse de son string. Puis, je touchais les lèvres qui en dépassaient, et les tirais doucement. Elle prenait son plaisir comme un bambin boit son biberon, les yeux fermés, en poussant de doux grognements de satisfaction. Mon doigt maintenant cherchait le passage qu'il ne tarda pas à trouver, pour s'attarder sur le bouton de rose. Ma bouche l'empêchait de gémir, pendant que l'index faisait son office. Lorsqu'il glissa à l'intérieur, elle posa sa tête sur mon épaule.
Elle était à quatre pattes sur le lit, et je m'enfonçais en elle avec délectation. C'était une de ses positions favorites. La tenant par les hanches, j'alternais les mouvements rapides, mon gland à l'entrée de son vagin, avec des mouvements lents, mon sexe la remplissant jusqu'au fond. Le string était au pied du lit, il gênait nos caresses. Bientôt, je prenais ses deux poignets dans ma main droite comme si je les attachais ensemble et les levais. Son torse bascula et sa tête vint s'enfoncer dans le traversin. Elle ne dit rien. Au contraire, je sentis que cette situation l'excitait encore plus, à la façon dont elle remuait ses fesses.
Je mouillais de salive l'index de ma main gauche et l'introduisais dans son anus. Mon poignet était un peu tordu et passait devant mon bas ventre, mais sa réaction valait cet inconvénient. A chaque fois que le coup "portait", elle était doublement pénétrée et criait de plaisir. Elle essayait de lever la tête, mais ses bras relevés, l'en empêchaient, mon index se tortillait dans son petit trou, et mon sexe la fouillait en rythme.
Elle partit dans un orgasme comme je les aime ; terrible, dévastateur, irrésistible Et auquel, d'ailleurs je ne pouvais pas résister. Mon bas ventre se contracta, et je me vidais en elle, pendant qu'elle jouissait encore.
Je pense que les voisins, s'il y en avait eu, auraient tapé au plafond, en entendant ses cris. Les premières fois, cela m'avait gêné, puis, je m'étais habitué, à sa spectaculaire façon de jouir. De plus, c'était sincère et réel. J'avais connu jusque là, des partenaires discrètes, et maintenant c'était mieux que dans un film porno. Ensuite, il lui fallait au moins dix minutes pour récupérer. Le problème, pour moi, c'est que rapidement après, elle aurait "remis le couvert" et si j'avais tout donné, je ne pouvais plus fournir le "deuxième service". Heureusement, l'âge et la technique m'avaient appris à m'économiser, si bien que n'étant pas un superman, j'arrivais souvent à tenir.
Je n'aime pas les comparaisons machistes, mais si je devais trouver un mot associé à Elke, j'aurais pris Aston Martin. La voiture de James Bond. Une belle ligne, un grand confort, une classe exceptionnelle, et donnant beaucoup de plaisir à celui qui sait la pousser au maximum de ses limites. Certains me diront que la comparaison est inconvenante, mais tant pis ! Je venais de voir qu'elle n'était pas dérangée par des mains liées dans le dos, elle n'en avait pas été choquée, et au contraire ça l'excitait. Ma découverte continuait sous de bonnes augures. Ma recherche d'autres indices pourrait continuer.
Je sais que certains auraient porté l'estocade rapidement, mais dans le domaine du S.M, il faut savoir aller lentement. Combien de femmes nourrissent ses fantasmes de soumission, mais n'oseront jamais l'avouer ! Elles ont peur, d'être prises pour des folles, ou pire, d'être ensuite battues comme plâtre par des idiots qui n'ont rien compris. Elles ne se laisseront "dominer" que par quelqu'un en qui elles ont entièrement confiance, et encore elles donneront une limite qu'il faudra respecter impérativement. Sinon c'est terminé, à jamais, avec le partenaire.
Pour un maître, il est difficile de trouver une soumise justement pour ses raisons. Elles ont peur de la maltraitance pure. Combien de bonhommes l'ont confondue avec le S.M ? J'ai trouvé quelques femmes soumises avec beaucoup de mal.
Certaines ont découvert cette forme de jeu avec moi et sont restées parce que, finalement c'est une forme différente de s'aimer, d'autres sont venues vers moi, en le sachant. Mais aucune ne pourra se plaindre de "maltraitance". Toujours il y a eu respect de la partenaire, de ses limites, et de l'anonymat s'il était demandé. Moyennant quoi, lorsque la relation s'est rompue, je suis resté en excellents termes avec elles, par la suite, sans jamais évoquer, ne serait-ce que par une allusion, cette particularité de notre vie intime.
Elke, dans le passé, était malheureusement tombée sur un gars, dirons-nous vulgaire. Il ne cognait "sa femelle" qu'après avoir bu, sans doute pour se donner du courage. Elle devait "passer à la gamelle" après de brefs préliminaires ou le moindre petit cadeau. Il aurait voulu être un maître, mais en fait il n'était, à mon avis, qu'un lecteur de B.D à quat'sous, un "beauf'", un "imbibé", un "queutard" qui n'avait rien compris aux femmes. Il avait affirmé ses droits, sans connaître ses devoirs.
Cela existe, et porte énormément préjudice au monde du vrai B.D.S.M., qui lui est respectueux d'un certain code de bonne conduite, de règles du jeux. Ce en quoi il se différencie du Sadisme pervers (supplices militaire, Gestapo ,etc) et du Masochisme pervers ( ceux qui demandent les plus grosses aiguilles aux infirmières, ou qui souffrent des dents sans se soigner volontairement, les durs à la douleur !?)
Je ne voulais pas passer pour un de ces idiots, et peut-être aussi à cause d'un sentiment d'amour, en tout cas de respect pour elle, je souhaitais prendre mon temps pour arriver à la découvrir en ménageant son amour propre. Même si elle savait que je la soupçonnais, je voulais que cette découverte vienne doucement, après une reconquête pacifique. Il restait encore quelques douces preuves à trouver !
Certains comportements trahissent, pour le moins, les fantasmes des gens.
Un matin, Elke m'appela pour faire des courses à Bayonne. A plusieurs reprises, elle avait insisté pour que je l'accompagne dans ses déambulations Il faut reconnaître que faire la tournée des magasins, pour un homme, n'est pas le Nirvana. Je prétextais tout un tas de raisons pour me soustraire à cette corvée. Trop de travail, pas le temps... en somme toutes les circonstances qui font qu'une telle expédition devient impossible.
Elle réussit quand même à me coincer, au fur et à mesure de ses questions, et en trouvant une faille dans mon emploi du temps sur laquelle je n'avais aucune excuse valable.
Ainsi, un mardi soir, je devais la retrouver, devant chez elle, vers cinq heures de l'après-midi. J'attendais dans la voiture, qu'elle veuille bien descendre. Je commençais à me blinder pour supporter les heures qui allaient suivre, et franchement, je faisais "la gueule". Je me voyais, arpenter les trottoirs, devant les vitrines, rentrant et sortant des boutiques à la recherche d'une paire de chaussures "allant avec le petit ensemble machin", ou à la recherche du pull Truc qui s'accorde "avec, tu sais mon pantalon beige acheté l'année dernière en solde chez bidule".
Un cauchemar pour moi ! Que dis-je l'horreur ! Sans compter les essayages à répétition, pour finalement me chercher un pantalon, dont évidemment je n'ai pas besoin.
Je vois une super-woman passer devant la voiture, et taper à la vitre. Stupéfaction ! C'est elle ! Chaussures à talons hauts, ce n'est pas son habitude, tailleur court sur des collants noirs, veste très classe sur un chemisier blanc presque transparent. Maquillée comme une star. "Tu m'ouvres la portière ?"
"Hein ? Ah oui ! Bien sûr".
La voilà qui s'assoit à coté et, en me faisant la bise, elle se penche, son tailleur remonte sur ses jambes, et je devine qu'en fait de collants, c'est des bas à jarretières qu'elle porte ! Pour faire les magasins, c'est une tenue bien singulière. Je suis sous l'effet de la surprise. Je démarre, fais marche arrière et me dirige vers le centre ville. Fin novembre, la nuit tombe vite, et à cause des achats de Noèl, la circulation est dense. Nous arrivons à un feu rouge, lorsque qu'elle déclare avoir chaud, et remonte sa jupe très haut. Les autres voitures ne peuvent pas voir ce qui se passe dans la mienne. En fait, Elke n'a pas mis de culotte et dans la lueur des réverbères, je distingue son sexe.
Un coup de klaxon, m'indique que le feu vient de passer au vert depuis quelques secondes. Je passe la première et accélère. En fait, je ne sais plus dans quelle vitesse je suis, et, le bruit du moteur me rappelle parfois qu'il faut que j'en change. Maintenant, elle déboutonne sa veste et ses seins libres pointent à travers le chemisier. J'ai du mal à me concentrer sur la conduite. Je m'imagine, entrant dans une boutique avec cette bombe au bras ! Si ce n'est pas la police, c'est les pompiers qui seront appelés. Il est sûr que je ne fais plus la gueule, mais que j'angoisse pour la suite. Je ne m'attendais pas à ça.
Nous arrivons sur le parking des remparts, Elke a toujours son minou à l'air. Je ne tiens plus, et après avoir arrêté le moteur, je me penche vers elle et l'embrasse. J'en profite pour lui caresser les seins en défaisant deux boutons, puis le sexe. Elle me repousse gentiment au bout de quelques secondes en baissant son tailleur.
"Désolée, mais nous sommes venus pour faire des achats, pas pour faire l'amour dans un parking. Nous verrons plus tard pour ça. Allez, passe-moi le manteau et allons-y !"
Après avoir soufflé, histoire de récupérer un peu d'air et me décongestionner, nous voici dans les rues commerçantes. J'ai l'air d'un garde du corps, au sens propre du terme. Les gars se retournent dans la rue et les femmes la fusillent des yeux. Le manteau est relativement court également, et, en entrant dans un grand magasin elle décide de l'enlever. Nous filons tout droit au rayon lingerie. Je sens venir le conflit armé, mais lâchement je la suis. Elle choisit dans le rayon l'ensemble le plus provocant en rouge !
Soutien gorge à balconnets, string, porte-jarretelles. Déjà, quant elle fouille dans les articles, il y a un homme qui ne s'intéresse plus à sa femme. Il faut dire qu'elle choisit un soutien gorge des Forges du Creusot, type fonte renforcée des hauts fourneaux, et une culotte familiale à trois places, rose. La mienne hésite entre 90 et 95B et la largeur de ce qui lui passera entre les fesses.
Direction la cabine d'essayage ! Le couple suit derrière nous (je suis sûr que pour une fois ce monsieur a du plaisir à s'y rendre, mais je ne suis pas certain que cela soit à cause de sa femme !).
"Chéri ! Regarde si ça va ! "
Le rideau s'écarte et elle sort dans l'espace entre les cabines. Je retiens ma respiration. J'ai ma bombe à demi nue dans l'allée et ça va éclater. Le type derrière est pris d'une quinte de toux, et s'étrangle à moitié.
"Qu'est-ce qu'il y a chéri ? Je t'avais dit de mettre l'écharpe ! Tu as attrapé froid en faisant les courses". La voix vient de derrière le rideau où sa femme essaie l'ensemble taille XXXL en pur coton renforcé fibres de carbone.
"Non, non !" dit-il. "Tu en as pour longtemps ? Il fait chaud ici !"
Elke, se regarde longuement dans la glace, en prenant certaines positions suggestives destinées à juger son look. Le gars est congestionné et continu à s'étrangler.
Je savais que ça se terminerait par une embolie chez quelqu'un de sensible. Déjà, moi, j'ai du mal à résister, et j'ai une certaine habitude de son corps, alors imaginez un innocent, qui n'a rien demandé à personne pris par surprise ! Elle n'a pas mis de culotte et attaché les bas noirs à l'ensemble, c'est d'un effet dévastateur. Du coup, la vendeuse, ayant entendu les borborygmes du monsieur qui a du mal à reprendre son souffle, arrive, juste quand l'engin incendiaire rentre en cabine et ferme le rideau. Ouf !
"Vous vous sentez mal, Monsieur ? Vous voulez un verre d'eau ?"
"Oui ! S'il vous plaît ! J'ai avalé de travers !"
Finalement, elle ressort, dirons-nous "habillée", avec les sous-vêtements sur le bras.
"Le slip fait des plis ! Je ne prends rien" dit-elle souverainement.
"Attends ! Tu l'as essayé ? En si peu de temps ?"
Non, mais je devine.
Elle ne souhaitait qu'une chose ; se faire voir, mieux que nue par des inconnus. S'exhiber dans un grand magasin en tenue légère. J'avais donc une exhibitionniste avec moi. Parfois, mesdames, vous ne vous rendez pas compte des tenues portées, ou vous le faites pour nous, mais là, aucun doute, cette situation la motivait au plus haut point.
En passant devant le bonhomme, encore rouge, qui tenait une culotte de type cabas de supermarché à la main, j'ai droit à un sourire complice et un hochement de tête de type connaisseur.
Nous sommes sortis du magasin et puis une constatation : "Dis ! Je mouille comme une chienne depuis tout à l'heure. Je suis tout excitée sans culotte et après mon spectacle dans les cabines. J'espère que ça t'as fait plaisir ? Je sens que ça coule sur la cuisse, et j'ai peur que le tissu soit traversé ! Tu peux pas vérifier ?"
A l'abri d'un porche, j'ai du relever son tailleur et m'exécuter. Effectivement, elle ne s'était pas trompée ; mes doigts en gardaient la preuve et même avaient accentué volontairement le phénomène par quelques caresses sur son clitoris et ses seins pulpeux. Elle voulait simplement se faire caresser et peloter en pleine rue au risque de se faire surprendre. Appuyée le dos contre la porte, le chemisier déboutonné, le tailleur remonté sur les hanches, son sexe épilé trempé, et les jolies jambes gainées de noir, écartées sur ses talons hauts, le tableau était plutôt hard, sous une entrée de style basque, très soft.
Je me promettais pour la prochaine fois, de lui faire porter des boules de geishas dans les mêmes circonstances. Je l'imaginais ayant un orgasme en pleine rue. Comme elle les a très forts, elle serait obligée de se mordre les lèvres pour ne pas jouir bruyamment.
Je me rappelais, quelques années auparavant, une séance de soumission avec une certaine Jacqueline. J'avais réussi à lui faire porter des pinces sur les tétons quelques jours avant et je voulais savoir jusqu'où elle irait. Je l'ai fait entrer dans un supermarché pour faire les courses de la semaine, avec des pinces sur les seins et 100 gr sur chacune, un corset et des bas noirs, une ceinture avec deux godes conséquents dans les fesses. Le tout recouvert d'un manteau. Je la suivais à quelques mètres derrière, en cas, bien qu'elle ait reçu l'ordre de ne jamais se retourner vers moi.
Au bout de dix minutes de marche, elle s'arrêtait plus longtemps devant les rayons, et je la voyais se cramponner au caddie plus souvent. Jusqu'au moment où elle a poussé un petit cri en s'appuyant le ventre sur la barre, pour ne pas tomber. Une dame a cru qu'elle avait un malaise et lui a proposé son aide. Je ne sais plus ce qu'elle lui a raconté pour s'en débarrasser.
Trois fois elle a recommencé. Lorsque je la récupérais une heure plus tard, elle m'avouait avoir joui plusieurs fois. Sa situation de soumise en séance, dans un lieu public, lui laissait un souvenir incroyable et l'avait excitée au maximum. Les poids qui se balançaient et tiraient les tétons, les godes qui la remplissaient à fond et bougeaient en elle lorsqu'elle marchait, la peur que le manteau s'ouvre, que l'on devine qu'elle jouissait ainsi. Bref ! J'en eu des remerciements et elle en garda un excellent souvenir.
Je me promettais de mettre, un jour, Elke dans la même situation. J'étais certain que ça lui plairait!
Vers sept heures du soir, nous avions fait toutes les rues possibles, provoqué bon nombre de torticolis à de braves messieurs, exacerbé la patience de plus d'une vendeuse, et apporté une contribution personnelle au repeuplement de notre pays en donnant des idées coquines à plus d'un géniteur. Les seins de mon amie, se balançant, libres et arrogants, étaient plus efficaces que le discours d'un homme politique. Je n'y étais pas non plus insensible et ma libido, bien que n'étant pas d'orientation patriotique, levait de plus en plus haut son "étendard". De son coté, je sentais également, que la situation que nous vivions depuis quelques heures, l'avait remontée comme un ressort ; je ne voulais pas qu'elle se "détende" avant d'avoir trouvé un endroit tranquille. Nous avons décidé de rentrer.
Avant de démarrer, il a fallu qu'elle fasse un petit pipi dans le parking, entre deux voitures. Et, c'est ainsi, qu'une famille nombreuse a frôlé l'accident, quand le papa a vu, dans les phares, une lune magnifiquement exhibée, au-dessus de bas noirs.
Arrivés chez elle, je choisissais la cage d'escalier plutôt que l'ascenseur. Lorsque la porte se refermait derrière nous, je lui demandais de se déshabiller, sauf les bas et les chaussures. Elle mettait ses affaires dans le grand sac que lui avait fourni un magasin pour porter ses achats, et montait devant moi. Vous pouvez imaginer dans quel état je me trouvais en arrivant au troisième, après avoir suivi un si joli cul montant les marches, dans un endroit aussi insolite. Elle était nerveuse depuis le rez-de-chaussée, par crainte de rencontrer un voisin dans sa tenue, mais continuait sans montrer la moindre hésitation ; elle devait à nouveau mouiller d'excitation !
Aussitôt arrivée, elle allait s'asseoir sur le bord du canapé du salon, les jambes grandes ouvertes montrant un sexe ouvert et luisant, et me tendait les bras en basculant en arrière.
Pour un maître, il est bon parfois de se mettre à genoux ; c'est une question de hauteur utile et non de soumission à son esclave. J'appliquais donc cette exception, et la pénétrais facilement. Son corps était frais, ses seins durs, les tétons sortis. Elle remuait ses hanches avec moi pour être fouillée en profondeur et prenait sa part de plaisir avec le plus grand entrain. Bientôt, les voisins pouvaient entendre un long cri de joie féminine, concluant trois heures difficiles d'abstinence.
Puisqu'elle était exhibitionniste, je lui préparais une surprise pour le week-end suivant dont elle se souviendrait longtemps. Je verrais également sa soumission à certains de mes fantasmes.
A suivre ici https://fessestivites.com/recit/180696
C'est trop mignon, j'adore |
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